Depuis « la vie parisienne » d'Offenbach, on n'avait jamais vu ça,
l'opérette la plus révolutionnaire de ce début de siècle arrive sur scène !
Un livret qui allie avec une grâce sans égale, le jeunisme le plus exacerbé et le classicisme le plus racinien. Une musique, qui revisite sans ambage le récitatif mozarien, le cabaret allemand et l’électro-trash. Le tout interprété par de jeunes comédiens raisonnablement sexy (pour leur âge) et passablement excitants (pour leur époque).
Livret Alain Grangeret
Musique Maxence Cyrin
Images décor Yannig Willmann
2005